Un voyage merveilleux dans un univers féérique

Posted lundi 14 mars 2016 by Unknown


 

Il faut que je vous parle d’un endroit hors du temps, qui saura charmer le plus récalcitrant d’entre vous. 
Petits ou grands, pas de jaloux, chacun en ressortira avec un fabuleux sourire et les yeux qui pétillent.

Quel est cet endroit surprenant me direz-vous et où se trouve-t-il ? A Paris ! Oui, je sais, il y a beaucoup d’endroits charmants dans la ville Lumière, mais celui-ci est encore assez préservé, bien que son nom commence à apparaître de plus en plus souvent, et j’en suis ravie pour eux ! 
Direction les pavillons Bercy, rénovés il y a quelques années, et qui constituent déjà en eux-mêmes un cadre très agréable.

Niché au cœur de l’un de ces pavillons, poussez la porte du Musée des Arts Forains, bienvenue dans un cadre magique. Mais attention ! Il n’est pas ouvert n’importe quand, c’est uniquement sur réservation, car vous serez guidé tout au long de la visite au sein des différentes salles : le Théâtre du Merveilleux, les Salons Vénitiens, le Théâtre de Verdure, la Fête Foraine de la Belle Epoque, chacune décorée avec soin.

L’évolution des manèges et des attractions au fil des siècles vous sera relatée, avec de nombreuses anecdotes, mais le plus, c’est que vous participez ! Quelle rigolade de découvrir les prémices des carrousels où les participants doivent pédaler pour le faire tourner ! Et la course de chevaux qui avancent grâce au lancer de palets, je suis fan ! 
Tout, absolument tout, m’a séduit au cours de cette visite, que ce soit la découverte des manèges, le fait de pouvoir tout essayer, le cadre extérieur et intérieur, c’est un pur moment d’émerveillement, de simplicité, et de joie !

Merci à tous les passionnés qui œuvrent dans ce musée, c’est un petit bijou et un gros coup de cœur.

Et si c’était à refaire ?

Posted mardi 1 mars 2016 by Unknown

On demande souvent aux plus petits « Tu voudras faire quoi quand tu seras grand ? ». S’ensuivent immanquablement des réponses attendrissantes voire surprenantes ; je me souviens de ma sœur qui voulait coûte que coûte devenir…vendeuse de yaourt nature ! Oui mais voilà, si on reposait cette même question aux mêmes enfants une fois devenus grands, je ne suis pas sûre que leur métier soit celui imaginé pendant leur enfance (pour exemple, ma sœur a abandonné sa carrière pourtant prometteuse !)

Je crois que l’on peut savoir et choisir ce que l’on veut faire une fois adulte. Non pas par prétention de jugement mais il faut être réaliste, on se connaît mieux à 30 ans qu’à 18. Alors, si c’était à refaire, que ferions-nous ? Une ecole de marketing, d’architectes ? Vétérinaire ? Artiste ? Styliste ? Pour ma part, je reste sur mon idée de petite fille : archéologue ! Partir à la recherche du passé pour comprendre notre présent, se documenter, faire preuve de patience : oui ça m’aurait plu, mais la réalité étant ce qu’elle est, je vais continuer à m’imaginer aux côtés d’Indiana Jones ! 

En tout cas, je trouve formidables et courageuses toutes les personnes qui osent un changement radical dans leur carrière ou leur vie en général, pour ne pas avoir de regret. A l’heure des burn out,  sur un fond de crise, ce n’est pourtant pas si évident, ni donné à tout le monde. Mais les choses bougent, les VAE et autre compte personnel de formation, peuvent être l’occasion d’atteindre son objectif. Ne reste alors qu’une chose à faire, et pas la moindre : OSER. Et franchir le pas pour tout recommencer. Ça fait peur… mais qu’est-ce que ce doit être motivant !

Et vous ? Votre travail est-il celui que vous imaginiez étant enfant ?

Les catacombes : pourquoi j’ai été impressionnée

Posted mercredi 11 novembre 2015 by Unknown


C’est à un véritable voyage hors du temps que j’ai participé durant le week end dernier. Passionnée d’histoire j’ai décidé d’aller visiter en solo les catacombes Parisiennes, parce que les ossements de 6 millions de personnes, cela a tout de même quelque chose de fascinant non ? A mon arrivée, je n’en menais pas large à vrai dire avec la pancarte qui nous accueille : «  Arrête ! Ici c’est l’empire de la mort ». Une véritable mise en scène scénographiée et pseudo macabre des restes de plus de 6 millions de parisiens transférés suite aux nombreuses fermetures de cimetières pour cause d’insalubrité.
A 20 mètres sous terre, cet ossuaire souterrain nous plonge dans une page de notre histoire. A l’époque, les cimetières étouffent, les fosses communes débordent, et les morts s’accumulent. Pour répondre à une forte demande, on décide de transférer les morts sous terre, mais aussi parfois d’y enterrer certains à l’instar des guillotinés.  Un endroit unique en son genre, où l’on circule à travers des dédales de galeries et de couloirs interminables dans un silence particulièrement pesant.
Ces anciennes carrières de calcaire largement sollicitées pour parfaire à la construction de la capitale sont aujourd’hui très visitées et accueillent des évènements privés dans un cadre insolite par excellence. Une façon de conserver une page d’histoire et de découvrir l’envers du décor de l’une des villes les plus visitées du monde.

Révolution en Chine, vous avez désormais le droit à deux enfants

Posted jeudi 29 octobre 2015 by Unknown


Scoop du jour, en ce jeudi 29 Octobre  selon un communiqué du parti communiste Chinois : on l’attendait depuis des années : la Chine met enfin un terme à sa politique de l’enfant unique et autorise les parents à avoir deux enfants. Une aubaine pour ce pays qui affiche un taux de natalité des plus préoccupants. Son objectif ? Enrayer le vieillissement alarmant de sa population et corriger le déséquilibre homme/femme qui devient inquiétant, au point qu’il pourrait mettre en danger le renouvellement de la population. Une annonce de portée historique que l’on retrouve à la une des plus grands journaux nationaux.
Mise en place depuis 1979, la politique de l’enfant unique a à son compteur de nombreux abus qui ont bouleversé la vie de nombreux chinois, à l’instar notamment des tristement célèbres avortements forcés ou de l’autorisation pour les couples ayant une fille de faire un deuxième enfant, à croire que les garçons ont davantage de valeur pour ce régime totalitaire communiste. Bien que cette décision inattendue retentisse dans l’esprit des Chinois comme un véritable « cadeau » du régime, elle ne répond cependant qu’à une nécessité montrée du doigt par de nombreux experts en démographie : un impératif à la fois économique et social.
Face à un indice de fécondité de 1,7 enfant par femme, les spécialistes ont tirés la sonnette d’alarme, ce chiffre ne permettant pas en effet le renouvellement des générations. Cependant, les sondages révèlent une problématique qui pourrait mettre à mal l’équilibre social du pays : seul 40 % de la population envisagerait d’avoir un deuxième enfant.
                                                                   

Pourquoi la nudité est elle bénéfique ?

Posted mardi 13 octobre 2015 by Unknown


Bien que souvent montrée du doigt, la nudité est quoi qu’il en soit une expérience harmonisante et libératrice qui permet à celui qui se lance de gouter au plaisir de s’affranchir des entraves du vêtement et de la morale sociétale.  Alors même que l’on nous inculque à cacher notre corps, voire à en avoir honte dés notre plus tendre enfance, j’ai tenté l’aventure de passer une semaine cet été en camping naturiste, autant dire que j’avais pas mal d’appréhensions et que j’y suis tout d’abord allé à reculons.
Permettant de se rapprocher de plaisirs simples mais également de faciliter la relation à l’autre en y apportant davantage d’authenticité, la nudité développe le respect et nous offre l’opportunité de réfléchir sur une approche différente du nu, en le dissociant de sa connotation érotique, voire sexuelle. En somme quand je suis arrivé dans ce camping, j’étais partagée entre excitation de vivre quelque chose de nouveau que je savais bienfaisant et la panique de me dévêtir devant de parfaits inconnus. Au final, beaucoup de bruit pour pas grand-chose, à mon arrivée j’ai expliqué que c’était nouveau pour moi et j’ai été conseillée par des naturistes de la première heure. J’y ai trouvé de l’écoute, du respect, beaucoup de tolérance, et j’ai pu me dénuder en toute confiance pour enfin offrir à mon corps une véritable cure de jouvence. Quel bonheur de sentir les rayons du soleil sur ma peau, l’eau glisser entre les plis de mon corps, le vent se frayer un chemin sur mon corps, ce sont des sensations extraordinaires. En revenant de vacances, j’avais le sentiment d’avoir gagné une certaine sérénité intérieure, d’être en paix avec moi-même, d’avoir une nouvelle vision du monde, d’avoir redéfini mes priorités mais surtout….. D’être enfin libre.

Est-il possible d’éduquer sans contraindre ?

Posted jeudi 1 octobre 2015 by Unknown


Etant dernièrement tombé sur un article traitant de l’éducation des plus jeunes et étant partagée sur le sujet de la fessée et de la brimade, je me suis penché avec attention sur les possibilités d’éduquer son tout petit, sans en faire un adulte insatisfait, colérique et frustré. Ayant moi-même eu à subir une éducation très stricte et une organisation militaire , j’aspire aujourd’hui a faire de mon enfant, un adulte épanoui, responsable, bien dans ses baskets, bien plus qu’un enfant obéissant et constamment contraint à plier face à l’autre. A mon sens, mater un enfant n’aura d’autre résultat que d’en faire un adulte soumis et mal dans sa peau…. Au cœur de la société d’aujourd’hui, il me semble qu’il est préférable d’être un battant bien plus qu’un individu qui plie sous la première brimade.
En remplaçant la contrainte par l’autodiscipline, le parent d’aujourd’hui donne plus d’espace d’expression à son enfant mais également plus de confiance car il lui apprend à se responsabiliser. Par exemple, plutôt que d’interdire à un enfant de manger sur le canapé, nous devrions lui dire que c’est d’accord s’il fait bien attention à ne pas le salir. De  cette façon, il aura acquis l’idée qu’en s’auto disciplinant il aura le droit de faire ce qu’il veut, et cela vous évitera de crier constamment.  En tentant de dominer son enfant, on lui apprend à mon sens à entrer dans la lutte permanente et surtout à s’inscrire dans un schéma de rapport de force, qui le desservira dans ses relations aux autres.
Il faut apprendre à l’enfant à obéir non pas par crainte des représailles mais parce qu’il a compris l’importance de la demande de son parent. Véritable plaie sociale, l’autorité autoritaire ne donne que des enfants violents, dociles, apeurés et au finale très peu surs d’eux et développant des symptômes traumatiques.  Arrêtons d’utiliser le cri comme mode éducatif, notre enfant ne nous écoute déjà plus !